Adrian Lloyd, de Orange County, connu aussi sous le sobriquet de "King of the surf drums" parce qu'il jouait dedits drums dans The Rumblers, a aussi poussé la chansonnette, inventant au passage le black metal.
mardi 28 février 2012
lundi 27 février 2012
dimanche 26 février 2012
KIM FOWLEY - Man without a country (1970)
Kim Fowley, le "Dorian Gray du Rock'n'roll", cette fois caché sous le pseudo de King Lizard, a enregistré cette merveille en Suède.
samedi 25 février 2012
KIM FOWLEY - The Trip (1965)
Kim Fowley, de Los Angeles, fait des cartes postales: "Un monde de crapauds et de fontaines vertes et de chiens volants et de chats d'argent et de rats d'émeraude et de nuages pourpres."
vendredi 24 février 2012
THE SENTINALS - Big surf (1963)
The Sentinals, de San Luis Obispo, Californie, déversent un océan dans leur garage. Au bout d'une minute, le solo atteint direct le point d'incandescence.
jeudi 23 février 2012
THE ELECTRIC PRUNES - Antique doll (1967)
Les Prunes électriques sont engourdies dans l'eau de vie, et l'horloge est arrêtée.
THE ELECTRIC PRUNES - I had too much to dream last night (1967)
Les prunes électriques, de San Fernando, Californie, donnaient une liqueur lysergique très prisée des amateurs.
mardi 21 février 2012
lundi 20 février 2012
THE WAILERS - Dirty robber (1959)
The Wailers de Tacoma, Washington. Le chanteur hullule comme s'il n'avait plus que quelques heures à vivre.
dimanche 19 février 2012
jeudi 16 février 2012
THE SEEDS - Six dreams (1967)
Les six rêves de maître Sky Sunlight Saxon: le garage débouche sur un jardin merveilleux.
THE SEEDS - A faded picture (1966)
Sur leur deuxième album, les Seeds passent à travers le miroir avec cette chanson sur les images et leur éclat transitoire.
THE SEEDS - Nobody spoil my fun (1966)
The Seeds, de Los Angeles: le morceau préféré de mon groupe préféré de tous les temps. Personne ne gâte mon plaisir, ok?
mercredi 15 février 2012
THE CALICO WALL- I'm a living sickness (1967)
The Calico Wall, de Minneapolis, chante les beautiful maladies.
mardi 14 février 2012
GREEN SLIME - Green slime (1968)
Nul ne sait d'où ils venaient et ce qu'ils voulaient exactement. Ne reste de leur passage que cette chanson molle, destinée à illustrer le film mou du même nom.
lundi 13 février 2012
THE LITTER - I'm a man (1967)
The Litter de Minneapolis reprennent Bo Diddley à fond la caisse, passent le mur du son, et se désintègrent à la fin de la chanson dans un jardin plein de ptérodactyles. Un des grands accidents soniques des sixties, ce qui n'est pas rien.
dimanche 12 février 2012
THE NIGHT PATROL - Trippin' (1967)
Toujours de Fort Worth, pas loin de Dallas, The Night patrol déambule nocturnement derrière les parois du cerveau. Les couches de riff s'entrecroisent jusqu'à former des sédiments, de ceux où l'on peut voir en transparence des libellules préhistoriques polychromes, tout en rigolant cosmiquement.
samedi 11 février 2012
? AND THE MYSTERIANS - 96 tears (1966)
Avec 96 tears et son orgue exagérément mixé DEVANT, Point d'interrogation et les mystérieux (Bay City, Michigan) font éclore sous le soleil du Garage une des fleurs les plus parfumées du genre.
vendredi 10 février 2012
jeudi 9 février 2012
mercredi 8 février 2012
THE ORANGE ALABASTER MUSHROOM - Your face is in my mind (2001)
The Orange Alabaster Mushroom, de Kingston, Ontario, appuie sur les parois élastiques de l'espace temps avec ce titre qu'on croirait tout droit sorti de la chaudronnerie à étoiles de l'année 1967. En plus, il y a Jean-Sébastien Bach au farfisa.
mardi 7 février 2012
THE MOURNING REIGN - Satisfaction Guaranteed (1966)
The Mournin Reign, de San Jose, et leur hymne punk garage. Pas de commentaire superflu. Le monde attendait cette chanson et c'est eux qui l'ont faite.
lundi 6 février 2012
THE BEAUTIFUL DAZE - City Jungle Part 1 & 2 (1967)
The Beautiful Daze, de Los Angeles, dans un exercice de guitare hachée du plus bel effet: la face B prolonge le trip, évoque un peu les talents de guitariste/désosseur du Docteur Eugene Chadbourne, et illustre soniquement les dernières volontés d'Aldous Huxley, griffonnées sur son lit de mort: "LSD, 100 µg, injection musculaire".
dimanche 5 février 2012
THE GROUPIES - Primitive (1966)
The groupies, de New-York, reprennent le riff de Smokestack' lightning, le déforment, l'aplatissent à coup de masse et le malaxent pour en faire un hymne menaçant et lourd comme un orage.
samedi 4 février 2012
SHE - Outta reach (1970)
vendredi 3 février 2012
THE AVENGERS - Be a caveman (1966)
The Avengers viennent de Bakersfield, Californie. Méchante profession de foi, mais superbe tuerie garage. Ca parle de tirer des filles par les cheveux, et tout ça: c'est du rock régressif. La rythmique est implacable: tout tient dans les clap clap. Les types imitent Tarzan et Cheetah pour ponctuer.
jeudi 2 février 2012
LOS CHIJUAS - Changing the colors of life (1968)
Los Chijuas, de Ciudad Juarez, Chihuahua, Mexique, livrent là un pur chef d'oeuvre: orgue spectral, mélodie parfaite, et chant super juste, le tout dans la plus pure pulsation garage. Le texte décolle vers le folk-rock californien et évoque les temps qui changent. Le farfisa ne s'oublie pas.
mercredi 1 février 2012
THE RENEGADES - 13 women (1966)
Les Renegades viennent de Birmingham, Angleterre, mais ont fait carrière en Finlande. Le titre est une reprise de Bill Haley and the comets et le message est simple: "13 femmes et un seul homme en ville". Un gimmick à la Ennio Morricone pour une méchante musique de duel. Le chanteur est fabuleux. Le reste est méchant, bas de caisse, avec un solo de guitare super pourri génial.
THE WERPS - Shades of blue (1967)
The Werps est un groupe de Somerville (New Jersey): petit côté gothique vaguement menaçant, avec un joli orgue funèbre. Sur le refrain, tambour roulé et voix gorgée de soul. Monotone? Oui, mais le fantôme d'une mélodie sublime.
THE WHEEL-A-WAYS - Bad Little Woman (1966)
Les Wheel-a-ways, de Belfast: un des plus beaux moments de rage de l'histoire du rock, qui renvoie pas mal d'autres hurleurs à leurs chères études.
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